BIOGRAPHIE
de Maria Munoz

Fondatrice du Centre de Casablanca (Maroc) dont la continuité est assurée depuis 1983 par le Centre de doctrine et d’initiation spirite christique, situé 1 rue du docteur Fournier, 37000 Tours.

Ce centre édite le Spiritisme Christique, un journal dont la réalisation a  été demandée aux frères et sœurs de casablanca. Ce journal est  distribué gratuitement pour diffuser la doctrine spirite consolatrice

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Maria Munoz est la fondatrice du centre de Casablanca. Elle était native de l’Andalousie, la région à l’extrême sud de l’Espagne. Elle ne parlait que la langue espagnole. Elle s’est mariée avec un veuf, ayant quatre ou cinq enfants en bas âge, qu’elle éleva grâce à son activité et son travail.


Quelques années après, elle demeura dans le village espagnol de la Linéa et travaillait à Gibraltar en tant que cuisinière dans la famille d’un officier de la garnison. Elle n’avait jamais peur lorsqu’elle rentrait chez elle-même si l’endroit était désert et qu’elle finissait son service assez tardivement car elle voyait marchant à ses côtés, son guide et un autre esprit vêtu en tenue de soldat écossais. Elle étaitmédium voyant.

Après son travail, elle se rendait chaque soir au local servant de lieu de réunion au groupe spirite dont elle faisait partie. Elle était médium guérisseuse. Dans la journée, les malades venaient au local où un homme âgé, sans occupation, les recevait et notait leurs noms et adresses sur de petites feuilles de papier , individuellement, comme nous le pratiquons aux séances de soins spirituels. Lorsque la médium arrivait le soir, l’homme lisait les noms et adresses et Maria Munoz dictait les soins à donner, que l’homme inscrivait au verso des papiers qu’il rendait le lendemain aux malades. Les indications étaient données par un esprit qui avait été médecin dans sa dernière incarnation. Cet esprit entrait en rapport avec les guides des malades et donnait ces informations au médiumMariaMunoz.


C’était une femme d’humble condition, illettrée, ayant cependant un sens philosophique peu commun et elle ne craignait pas de répondre lorsqu’on lui posait une question embarrassante sur la doctrine : « Attends, je vais demander à mon guide. » Elle donnait la réponse un instant après car elle était médium auditive à l’état permanent ce qui lui permettait de guérir les obsessions.